Afin de travailler en toute transparence, vous trouverez nos tarifs dans la partie judicieusement intitulée « tarifs ». Tout dépend de la complexité du texte, du nombre de pages, de la quantité de recherches nécessaires. En gros, un livre coûte entre 2500 euros et 7000 euros. De toute façon, nous convenons d’un prix à l’avance.
Plusieurs mois dans tous les cas. Entre trois et dix. Et c’est mieux ainsi. Même George Simenon, qui travaillait extrêmement vite, produisait un livre de 250 pages en trois mois. En général, il vaut mieux prendre un peu de temps, laisser mûrir le texte, ajuster son point de vue sur l’ensemble. Travailler trop vite n’est pas souhaitable, sauf dans le cas d’un texte journalistique, d’une enquête ou d’un argumentaire. Ecrire, c’est un artisanat.
Non. Nous sommes prête-plume, nègres littéraires, conseillers en écriture, rédacteurs… Donc inconnus des éditeurs, nous ne pouvons les solliciter directement. Les textes que nous écrivons ont déjà été publiés, mais nous ne sommes que deux à le savoir : le client et nous-mêmes. Par ailleurs, nous ne pouvons fournir la garantie que votre texte sera publié ; si Proust lui-même fut rejeté par Gallimard, nous serions téméraires de parier sur des publications systématiques !
En revanche, nous vous offrons trois avantages :
– une liste d’éditeurs choisis, qui par leur ligne éditoriale, sont les plus susceptibles de vous publier,
– un texte revu, corrigé, calibré et travaillé pour devenir un livre formidable,
– une lettre d’introduction,
– une stratégie pour vous vendre au mieux.
Avec ce pack sous le bras, vous avez tout ce qu’il vous faut pour faire la chasse aux éditeurs !
Nous sommes liés par un engagement de confidentialité (un NDA) avec chacun de nos clients. Quelques personnalités nous ont fait confiance en nous proposant leur projet d’écriture, que nous avons réalisé dans l’anonymat le plus complet. En tant que prête-plume (ou conseiller en écriture, rédacteur, nègre littéraire), nous refusons de divulguer évidemment le nom des personnes pour qui nous avons écrit. Cela fait partie de l’éthique de notre métier.
Impossible !
😉
Nous travaillons à partir de vos idées, nous vous fournissons le début du texte, nous le retravaillons tant qu’il n’est pas conforme à vos attentes. Donc, si le résultat ne vous convient pas, c’est que vous avez changé d’opinion en cours d’écriture. Et vous n’êtes pas comme ça…
Le cordonnier est toujours le plus mal chaussé. N’est-ce pas ? Nous écrivons pour nous, mais nous passons après nos clients. Ce qui fait que nous avons des projets personnels en chantier et aucun n’est achevé de façon satisfaisante. Un jour… sans doute !