Méthodologie

Même pour un professionnel (nègre littéraire, auteur, prête-plume ou conseil écrivain), écrire demande du temps, de la concentration. Et de nombreuses  tasses de café. C’est un acte qui obéit à une certaine rigueur et nécessite une vraie méthode de travail. Cela est d’autant plus vrai lorsque l’on écrit pour autrui car il s’agit de coller au plus près de ce que vous avez en tête, dans le ton, la sensibilité, les émotions et les informations que vous souhaitez délivrer aux futurs lecteurs.

Quand vous proposez votre projet, l’un de nous (Franck LUCEA, Nicolas LORIOD ou Alice DEFRASNE) vous répond.  Nous vous demandons des précisions sur vos intentions d’écriture. Nous évoquons aussi votre objectif : édition, auto-édition, livre pour soi…

Une fois ce cadre défini, nous écrivons deux pages d’essai (gratuites). Elles permettent d’abord de vous aider à prendre votre décision (car nous avons conscience que le choix d’écrire un livre constitue un effort financier). Elles permettent aussi de nous guider, de nous réorienter si nous ne saisissons pas du « premier coup » l’essence de votre projet. Une fois validées, un contrat- qui cède les droits d’auteur- est signé : il divise le travail en quatre étapes.

Chacune correspond à un quart du travail (et donc un quart du paiement).

Cette méthode a deux avantages. D’une part,  elle offre d’abord la possibilité d’étaler l’effort financier. D’autre part, elle constitue un moyen sûr d’avancer pas à pas. Donc, de vous livrer un texte qui vous satisfasse.

Ce n’est qu’à la fin du règlement total que les droits d’auteur vous sont entièrement cédés.

Ainsi, régulièrement, vous nous faites part de votre ressenti : nous ajustons alors le texte en fonction de vos remarques. Ce qui signifie que l’écriture de votre livre nécessite un dialogue entre vous et nous tout au long de son élaboration (par mail, téléphone ou skype)

Un projet en tête, un texte que l’on veut diffuser, une vie que l’on veut partager, c’est bien souvent une partie de soi que l’on met à nu. Ecrire pour vous n’a donc rien d’anodin. Comme l’évoquait Stendhal: « un roman est un miroir qui se promène sur une grande route ». Ce miroir, c’est le vôtre. Il doit VOUS refléter. Ce travail de conseiller en écriture, de prête-plume (ou de ghostwriter), c’est le nôtre.