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ParFranck LUCEA

Trouver le bon prête-plume


Même si les moteurs de recherche ont considérablement facilité la tâche des internautes, trouver un écrivain fantôme fait encore problème… Pour quatre raisons que nous allons lister dans cet article. 

Tous ces noms pour une profession discrète ! 

La première difficulté, déjà plusieurs fois évoquée sur ce site, tient au nombre de mots désignant la profession. Nous trouvons : prête-plume, conseiller en écriture, écrivain-fantôme, écrivain discret, plume de l’ombre, écrivain privé, rédacteur ou encore nègre littéraire (pour ce dernier, bien qu’il ne soit plus accepté par l’Académie française, son usage demeure). Avec en plus, parfois des tirets, parfois pas ! 

Les moteurs s’en mêlent

Deuxième difficulté : les moteurs de recherche indiquent aussi bien les articles et les pages  traitant du sujet que les sites proposant ces services. 

Par exemple, si vous faite une requête sur « écrivain fantôme », votre moteur de recherche vous envoie sur Wikipedia puis sur un article de France info !

Comment chercher efficacement ?

Troisième  difficulté : Procéder à la bonne recherche… ( Mais bon, si vous lisez cet article, c’est que vous avez réussi à trouver un site de nègres, rédacteurs et prête-plumes ! )

Les requêtes les plus fréquentes sur Google sont : 

prête-plume tarif ,
ecrivain fantôme tarif,
trouver prête-plume,
écrivain-fantôme le film (et oui, certains veulent voir : Ghostwriter…. 😉 )
trouver un prête plume,
rechercher un prête plume,

Nous vous conseillons de mettre plusieurs mots clés (« rédacteur / prête-plume » par exemple). Et de ne pas mettre de localisation. C’est un travail qui se fait très bien à distance. 

Toutes ces plumes !

Quatrième difficulté : l’offre est devenue pléthorique. Comme aucune qualification particulière n’est requise pour devenir prête-plume, vous trouverez des  sites de professionnels comme de complets amateurs (voire même des plagiaires ! Pour la petite histoire, l’un d’eux a presque intégralement paraphrasé notre site précédent.) 

Et là, nous vous conseillons le feeling… Après un premier contact, sentez-vous un interlocuteur à l’écoute ? ses conditions sont-elles claires ? sa façon d’aborder les choses vous convient-elle ? Si oui… lancez-vous !

Quel que soit le nom que vous nous donniez, (prête plume, conseiller en écriture, rédacteur ou écrivain fantôme…) chez conseil-ecrivain.com, nous sommes là pour mettre en mots vos idées ! 

ParFranck LUCEA

La fin du papier ?

« Les jeunes ne lisent plus ! », « les livres sont trop chers ! », « les encyclopédies sont mortes ! »… on entend toutes sortes de choses sur les livres.

Le livre est-il mort ? En tant que prête plume et auteur, je le regretterai… mais je ne crois pas tant il conserve des atouts :

  • N’importe quel livre durera plus que votre MacBook.
  • N’importe quel livre a un meilleur bilan carbone qu’un film sur Netflix.
  • Le livre ne s’impose jamais à vous, il vous attend.
  • Vous trouverez toujours quelque part dans le même livre, un sens nouveau.
  • La narration sera toujours prisée des hommes, quel que soit le support.
  • On disait déjà que les enfants ne lisaient plus dans les années 90… juste avant les 300 millions de vente d’Harry Potter.
  • Le livre délasse plus de la fureur du monde que n’importe quoi d’autre.
  • Un film de Science Fiction de quinze ans est dépassé, ridicule avec ses effets datés, presque impossible à regarder. Un roman d’un siècle vous emporte comme un rien.
  • Les romans touchent à l’universel, les vidéos attendent la coupure pub.
  • On offre encore des livres. En effet, c’est un cadeau.
  • Seul le roman s’offre le luxe du temps.
  • Même mauvais, le livre est utile : le papier est compostable. 😉
  • Cela reste le moyen le plus fiable de transmettre sa pensée, sa vie, son vécu, ses idées.

Bref, des tas de gens ne lisent plus, c’est indiscutable. Ce n’est pas appelé à durer. Le livre, la narration, l’écrit resteront et reprendront de la force d’ici quelques années. C’est inévitable.
D’ici là, nous autres, les prête-plume, auteurs de l’ombre, écrivains fantômes, avons encore de belle pages à écrire !


ParNicolas LORIOD

Qu’est-ce qui fait une bonne histoire ?

Récemment, on nous a posé la question, à nous, rédacteurs, écrivains publics, écrivains fantômes, via le formulaire de contact de conseil-ecrivain.com : « qu’est-ce qui fait une bonne histoire pour un roman ? » »

Notre réponse d’auteurs et de prête plume dans la suite de l’article…

  1. Un personnage avant tout.

Lorsque l’on écrit, cela commence très souvent ainsi dans notre esprit : « c’est l’histoire de… ».  Dans un roman ou un scénario, c’est donc bien le personnage qui est au centre de la fiction. En tant qu’écrivain fantôme/nègre littéraire, il est de notre devoir de vous inviter à réfléchir à celui-ci. Un personnage creux, vide, caricatural et votre récit perd tout intérêt.

C’est aussi simple que ça : si on ne s’intéresse pas au personnage, on ne s’intéresse pas à l’histoire.

Pour un auteur, c’est la clef du succès. Un personnage de fiction dense donne de l’ampleur au roman ou au scénario. Vos personnages portent sur leurs épaules -imaginaires et imaginées- la crédibilité de votre histoire. Il faut donc songer à leur donner de la chair dans le texte, à travailler leur densité, dès le début du processus d’écriture.

2. Penser aux caractéristiques

Mais comment faire ? Pour un prête-plume, c’est une question récurrente. Lorsque nous travaillons comme auteurs, on donne toujours quelques principes essentiels. Cela passe bien sûr par des caractéristiques physiques et sociales à développer dans la rédaction : âge, sexe, lieu de vie, métier, situation sociale, taille, etc.

Mais plus important encore : son histoire et sa psychologie doivent être l’objet d’une attention particulière : le contexte dans lequel vous l’insérez, son passé et ses traits de personnalité donnent une dimension essentielle au héros, de sorte à ce que le principe d’identification du lecteur fonctionne à plein.

Il est d’ailleurs toujours plus intéressant d’être confronté à des héros complexes, qui n’ont rien de tranché, qui portent au contraire en eux une part d’ombre et de lumière.

3. Le faire évoluer

Autre astuce d’écriture que nous vous donnons sur le blog de conseil-ecrivain.com : faites évoluer votre personnage entre le moment où le lecteur fait sa connaissance et la fin de l’ouvrage. C’est ce qu’on appelle l’arc de progression. Prenez n’importe quel roman ou film : le ou les héros changent. Qu’ils se soient assombris, assagis, devenus plus tolérants ou bien encore plus colériques par exemple, vous devez songer à donner aux personnages, sur lesquels repose l’histoire, une trajectoire évolutive .

Pour nous, écrivains-fantômes/auteurs, c’est un enjeu fort pour un récit qui tienne le lecteur. Si vous faites appel à notre expertise de rédacteurs, nous vous rappellerons l’importance du personnage principal de votre fiction et celle de le faire progresser dans le récit.

En conclusion

Évidemment, il y a différents paramètres d’écriture qui font un bon roman ou un bon scénario. L’un des dénominateurs communs des auteurs à succès reste la capacité à créer des personnages forts. Notre rôle d’écrivains-auteurs-rédacteurs est d’abord de vous le rappeler 🙂