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ParNicolas LORIOD

L’auto-édition : bon plan ou mauvaise idée ?

L’édition est un monde difficile à percer. C’est toujours la première information que nous donnons en tant que prête-plume. Un éditeur en vue expliquait que sur 3000 manuscrits reçus par la poste, il en publiait … 2. Pour autant, il ne faut pas se décourager car un projet resté à l’état de rêve sera source de regrets. Il faut passer outre la barrière psychologique de l’édition.

Notre rôle d’écrivain-fantôme est de vous donner les bons conseils pour vous guider dans ce parcours éditorial. Cela se passe à la fin du projet et cela fait partie des services ordinaires que tout prête-plume doit à ses clients. Le choix des éditeurs, la lettre d’accompagnement sont les deux leviers principaux. Nombre d’éditeurs se plaignent de recevoir des textes qui ne correspondent en rien à leur ligne éditoriale.

Nous avons aussi beaucoup de retours positifs sur l’auto-édition. Plus qu’un phénomène, c’est une opportunité nouvelle. Il existe de nombreux sites qui proposent de s’auto-éditer. Premier avantage : c’est très flexible : vous êtes le maître d’œuvre de A à Z, en termes de format, de prix, de quantité, etc. Deuxième avantage : les droits d’auteur sont plus élevés que dans le cas d’une édition via un éditeur « traditionnel ».  Dernier avantage : vous avez votre livre, qui fleure bon le papier frais, en quinze jours.

Chez conseil-ecrivain.com, nous vous indiquons les démarches à suivre si vous optez pour l’auto-édition. Cela n’a rien de bien compliqué. Et, avec le développement des ebooks, il y a de réelles opportunités de trouver ses lecteurs ! En tant que conseillers en écriture / écrivains-fantômes, nous serons ravis d’apprendre que votre projet trouve son public ! 

ParNicolas LORIOD

Focus sur un métier d’écriture : le scénariste

S’il est un métier qui a longtemps été oublié, c’est bien celui de scénariste. On a mis sous les lumières le réalisateur, le chef-opérateur éventuellement, les acteurs, mais le scénariste a souvent été le personnage effacé dans la chaîne de fabrication d’un film. Pourtant rappelez-vous Jean Gabin. Il disait :  » Un bon film, c’est trois choses : primo une bonne histoire, secundo une bonne histoire et tertio une bonne histoire. »

Le scénario est le point de départ de tout. C’est pourquoi, chez conseil-ecrivain.com, lorsqu’on nous lance sur l’écriture d’un scénario, le conseil d’écriture que l’on donne est d’abord de bien savoir dans quel sens mener son histoire. Après, il y a effectivement des codes d’écriture spécifiques. En tant que prête-plume, nous nous en chargeons intégralement. Un projet de scénario n’est en tout cas jamais anodin, car il appelle à se concrétiser ensuite en images via un découpage technique/storyboard.

Depuis quelques années, le rôle du scénariste est revenu sur le devant de la scène, paradoxalement par le biais des séries… Le succès de Breaking Bad ou de  Game of Thrones ont re-démontré l’importance du scénario. C’est au point qu’un nouveau corps de métier est apparu : le show Runner.  C’est un directeur d’écriture qui dirige une équipe de créatifs. Il est responsable de l’identité du film et du maintien de l’intrigue.

On l’a bien vu avec la série Les anneaux de pouvoir : la critique à l’égard des scénaristes a été cinglante. Si le scénariste a retrouvé une certaine aura, c’est souvent pour être l’objet de critiques acerbes. Dur métier que celui-ci…

Mais passionnant ! Lorsqu’un projet de scénario nous est proposé, on sent toujours l’enthousiasme des personnes qui nous contactent. Et pour nous, en tant que prête-plume, c’est la garantie d’un projet énergisant. Nous avons écrit des dizaines de scénarios. Vous pouvez donc compter sur notre expérience d’écrivain-fantôme. Nous vous donnerons les meilleurs conseils et votre histoire gagnera en relief et en profondeur.

ParNicolas LORIOD

Un point, c’est tout !

De l’importance de la ponctuation.

A l’heure des sms et des mails envoyés à la vite-vite, la ponctuation n’a jamais semblé aussi importante pour être clair et précis dans son propos. Il en est de même dans les projets d’écriture que l’on nous propose de retravailler.

1- Le fond et la forme

Pour nous, écrivains-fantômes, le conseil primordial reste le suivant : « Il faut concilier le fond et la forme ». 

Le fond, c’est votre idée, vos arguments, votre histoire. La forme, ce n’est pas seulement la mise ne page ; c’est d’abord l’articulation entre vos phrases et vos idées. Donc, c’est la ponctuation. Chez conseil-ecrivain.com, nous insistons sur cette dimension essentielle d’un beau style.

2- Ponctuer, c’est quoi ?

La ponctuation est ce qui fait le lien entre vos phrases et, à l’intérieur de la phrase, entre vos groupes syntaxiques. 

Elle permet de lire et de comprendre un texte plus facilement. Quand on nous soumet un travail d’écriture en vue de conseils, notre regard de ghost-writers est clair : ce qui fait la différence entre un texte lisible et un autre que l’on doit lire et relire pour le comprendre passe forcément par la ponctuation.

Un simple virgule peut modifier tout le sens d’une phrase.  Repensons à instant à ce bon Flaubert qui disait : « la plus belle femme du monde ne vaut pas une virgule mise à sa place ».

En cinéma aussi d’ailleurs, on parle des marques de ponctuation pour qualifier les choix de passage d’un plan à un autre.

3- La ponctuation au service du style et du propos

N’importe quel nègre littéraire/écrivain-fantôme vous le dira : ponctuer sert à donner du souffle à votre récit. 

C’est d’abord par les points, les virgules, les deux points que vous mettez en relief votre écriture. A l’oral, la tonalité de votre voix, son rythme,  ses pauses, son intensité, permettent de cadencer  votre récit, de lui conférer une certaine autorité qu’elle n’aurait pas si vous étiez sur un débit monotone.

A l’écrit, ce sont les marques de la ponctuation qui jouent ce rôle. Aussi, rendez-vous compte à quel point elles peuvent porter une histoire, la rendre fascinante, intrigante…  Regardez nos grands auteurs ! Louis-Ferdinand Céline fouette la langue avec ses points de supsension incessants, répondant à ce paradoxe de faire une « langue écrite parlée ». Maupassant est le roi de la virgule ! John Irving dans le monde selon Garp donne un exemple magistral de l’utilisation du délicat point-virgule… Tous sont attentifs à ces petits signes noirs.

En tant que conseillers en écriture, nous remarquons en effet qu’un récit prenant dépend en grande partie de la qualité de sa ponctuation.

4- En conclusion

Vous avez l’idée d’écrire ou bien votre projet d’écriture est déjà ficelé. N’hésitez pas à vous attarder sur la ponctuation, à sentir si elle rythme votre propos ou, plus globalement, si elle est cohérente avec le ton souhaité pour votre texte.

Évidemment, n’hésitez pas non plus à nous contacter pour avoir le regard d’un spécialiste de l’écriture et des conseils d’écriture. C’est notre rôle d’écrivain-fantôme que de vous donner en premier lieu un avis clair et impartial.